Le 28 février 1995, la Banque d’Angleterre a annoncé que la banque Barings a subit des pertes supérieures à 265 millions de livres sterling et que chaque baisse supplémentaire d’un point de l’indice Nikkei entraînait une perte de 70 millions de livres !
Que s’est-il passait pour que la sixième banque d’affaires britannique subisse un tel revers ?
Cette faillite de la banque Barings a reposé sur un seul homme, son trader vedette de Singapour, Nick Leeson, qui a spéculé sur la montée de l’indice Nikkei japonais. Il ne pouvait pas prévoir le tremblement de terre du 17 janvier 1995, à Kobé, deuxième port du Japon. À partir de cette catastrophe, l’indice japonais a chuté. Il n’a égalé sa valeur de janvier 1995 qu’en décembre 1995, soit onze mois plus tard ! C’est grâce à un mécanisme très sophistiqué que Nick Leeson a réussi à outrepasser ses pouvoirs et à abuser sa compagnie laissant un gouffre de plus de 600 millions d’euros.
Le 6 mars 1995, la Barings a été cédée à une banque néerlandaise.
Que s’est-il passait pour que la sixième banque d’affaires britannique subisse un tel revers ?
Cette faillite de la banque Barings a reposé sur un seul homme, son trader vedette de Singapour, Nick Leeson, qui a spéculé sur la montée de l’indice Nikkei japonais. Il ne pouvait pas prévoir le tremblement de terre du 17 janvier 1995, à Kobé, deuxième port du Japon. À partir de cette catastrophe, l’indice japonais a chuté. Il n’a égalé sa valeur de janvier 1995 qu’en décembre 1995, soit onze mois plus tard ! C’est grâce à un mécanisme très sophistiqué que Nick Leeson a réussi à outrepasser ses pouvoirs et à abuser sa compagnie laissant un gouffre de plus de 600 millions d’euros.
Le 6 mars 1995, la Barings a été cédée à une banque néerlandaise.
16 janvier 1995 |
6 mars 1995 |
La carte du ciel d’un président ou d’un roi peut être consultée comme carte universelle en astrologie mondiale pour son pays et plus encore pour le « numéro un mondial ». Il est entendu qu’il n’a aucune responsabilité directe dans les faits présentés.
Faillite de la banque Barings – Les analogies
|